F1.GP.1997.Canada.ITA.resume30.twb22.mp4
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En 1996, le circuit Gilles-Villeneuve a bénéficié d'une réfection du bitume de la portion jouxtant le fleuve Saint-Laurent. Pour cette année, le reste de la piste est entièrement resurfacé. L'adhérence des monoplaces ne s'en trouve guère améliorée: les pilotes se plaignent toujours des vibrations causées par des aspérités. Du côté des infrastructures, on découvre de nouvelles tribunes démontables qui permettent d'accroître l'affluence. Grâce à la popularité de Jacques Villeneuve, ce Grand Prix se joue en effet à guichets fermés. « L'effet Villeneuve est amplifié par rapport à l'an passé », précise Normand Legault. « Pour nous, les Québécois, Jacques a acquis de la consistance et un surcroît de crédibilité. » Libéré des tracasseries de la FIA, le pilote canadien aborde avec une relative sérénité ce Grand Prix national où il compte bien s'imposer. Il regrette en effet toujours de s'être incliné ici l'an passé devant son équipier Damon Hill... Le clan Villeneuve est en tout cas réuni pour ce week-end: outre Mélanie, la petite sœur de Jacques, on aperçoit leur mère Joann, la veuve de Gilles, qui n'était plus venue sur un Grand Prix depuis la disparition de celui-ci en 1982. Elle suivra la course depuis le studio de la chaîne Kiosque F1, où officient Jean-Luc Roy et Patrick Tambay, deux amis de son regretté mari.
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